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 Ne te perds pas ici ou tu me trouveras... (Terminé)

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Nathaniel Anima
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MessageSujet: Ne te perds pas ici ou tu me trouveras... (Terminé)   Ne te perds pas ici ou tu me trouveras... (Terminé) Icon_minitimeLun 26 Juil - 17:15

L'homme avait les pieds sur un bloc de pierre, assis en gargouille, il observait un vivarium emplit de terre. Il était possible alors de voir au dessus plusieurs insectes morts pour des raisons bien évidente de famine puisque l'homme en question avait oublié de les nourrirent. Un détail bien anodin vous me direz. Mais un détail qu'il aurait surement, du moins, tenter de combler avant que la population de ses insectes ne décrois ainsi si rapidement. Cependant il pouvait affirmé que l'expérience avait néanmoins été fructueuse sur plusieurs points! Par exemple il avait observé que le pouvoir de la reine était si absolue que ses fidèles c'était laisser manger par elle. Le pouvoir de la collectivité, le sacrifice de sois pour le bien de la ruche. Nourrir la reine qui est la seule à pouvoir assurée la continuité et ce de sa propre chaire. Une leçon intéressante, mais un peut illogique du point de vu extérieur. Car si toutes la communauté se sacrifie pour la reine, sur quoi cette dernière règneras? Ah! C'était bien la une bonne question. L'homme allait en tirer une leçon importante.

'' Bien que le sacrifice de sois au bien d'une cause est essentiel à sa bonne réalisation , il faut cependant ne pas perdre de vue le fait que si le maitre sacrifie tout ses disciples et qu'il ne sait que gouverner et rien d'autre, il mourra, seul. Le roi se doit donc de conduire chaque bataille, de partager les taches de ses disciple et apprendre à vivre seul tout en déterminant tout de même la limite entre lui et les disciples pour qu'ils comprennent bien qu'il est tout de même le maitre. Mais encore, s'il ne reste que lui, même s'il sait survivre, que restera t-il de son idéal? Un lâche ne peut être Roi. Le Roi doit être en mesure de pouvoir sacrifier lui aussi sa vie au bénéfice de sa cause pour faire valoir toute la force de son idée et en perpétrer la force. Le Roi doit mourir pour le bien de ce qu'il désire réaliser. Il doit mourir même si la réussite n'en dépend pas à priori et ainsi son enseignement sera complet. C'est pourquoi il doit engendrer un successeur qui prendra alors la tête après le sacrifice. Lui seul sera en mesure de régner sur cette nouvelle utopie. Le peuple craint le sacrifice, le peuple craint les souverains qui détruise tout. Mais le peuple adore les idéologies pour laquelle les souverains sont eux-même mort pour en assurer le succès. Je dois donc engendrer un successeur et je devrais... Mourir inévitablement. ''

Ses yeux brillèrent alors d'une lueur étrangement métisser entre plaisir et peur. Il le savait depuis le début qu'il devrait faire plus que dédier son âme. Anima devaient aussi la donner entièrement. C'était inévitable et c'était à cette pensé que son être frissonnait de l'étrange mélange d'émotion. Ce moment ou il devrait mourir... Une mort qui ne signifierais que la réussite et l'avènement du Nirvana. La joie, le plaisir de la réussite. La peur de mourir et de ne pas voir son œuvre. Bien évidement il serait possible de feindre cette mort et de se cacher, mais ne serais-ce alors pas de la lâcheté? Cela serait cracher sur son idéal.

'' Tant reste à faire. Rien n'est commencé... J'ai hâte, tellement hâte... J'ai si hâte que tout les acteurs entrent en scène... ''

Nathaniel se leva, son vivarium à la main. Plantant son regard sur les cadavres d'insectes il enchaina.

'' Petite fourmis, qu'est-ce que cela fait d'être mort? À quoi goute t-elle? Quoi? Que me dites-vous? Vous m'en tenez rigueur! Je comprends, j'ai causer votre mort prématuré après tout! Mais je ne désire qu'une simple réponse, pardonnez moi durant se cours instant, c'était pour une grande cause. Petite fourmis, comment est la mort? Est-elle sucré? Puis-je en avoir un avant gout? Je ne peux pas? Mais pourquoi donc... Ah! C'est une surprise alors! Je comprends. Ce fut divertissant. Merci de cette réponse. Il est temps de partir maintenant. Non non, ne m'attendez pas. J'en est encore pour un petit moment. ''

Il laissa tomber le vivarium que se brisa, rependant son contenu sur le sol de pierre froide. De toutes cette terre et de c'est cadavre, une fourmis encore en vie sortit, courant à toute vitesse. Un sourire gourmand s'afficha sur son visage.

''Tu as survécu par lâcheté ou par force? Que feras-tu maintenant que ta reine est morte? Cours, cours. N'as-tu pas un nouveau royaume à bâtir? C'est ce qui t'incombe à toi qui à survécu! Quoi? Ne me dis pas qu'il sera comme le précédent. N'as-tu rien compris? ''

Anima sauta au sol et d'un geste rapide coinça l'insecte entre son index et son pouce. Son regard se fit inquisiteur et méchant.

'' Vas aidez une reine qui te mangera. Un royaume qui s'écroulera comme le précédent et ce de la même manière. Tu es comme les hommes. Tu ne comprends rien. Fourmis, tu peux être triste d'avoir ainsi vu les choses. Ce monde a eu sa chance et il la gâché! Quoi? Tu es nées pour travailler au service d'une reine? Alors tu ne prêtes même pas allégeance à la tienne... Tu ne fais que courir d'une reine à une autre sans même chercher a comprendre. Honte sur toi petite fourmis. Que fais-tu de tes compagnons qui sont mort pour cette expérience. N'as-tu pas envie de les venger et de créer un monde ou ce genre d'injustice n'ont pas lieux d'être? Non, tu veux répéter les mêmes erreurs encore et encore, renier ta reine, tes compagnons et leurs mort. Qui es-tu? Ne sont-ils pas mort pour la survie de la communauté? Ils se sont sacrifier pour te permettre de vivre et toi tu fuis cette vie? Tu souilles cette vie qu'ils t'ont donné! Tu souilles la mémoire de ceux qui se sont sacrifié pour toi. Tu es comme les hommes. Tu ne comprends rien. Vilaine, très vilaine... ''

Il la démenbra et l'écrasa ensuite, la jetant ensuite à terre avec dégouts.

'' Je n'es pas de respect pour le lâche. ''

Anima se laissa alors tomber prêt des restes de la fourmilière, les yeux mis-clos.

'' Détruire... Purger... Renaissance... Création... ''

L'homme tourna lentement la tête vers une silhouette non loin de lui.

'' Qu'en pensez-vous? ''
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Samaël Samarensis
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MessageSujet: Re: Ne te perds pas ici ou tu me trouveras... (Terminé)   Ne te perds pas ici ou tu me trouveras... (Terminé) Icon_minitimeJeu 5 Aoû - 6:19

L'enfant ouvrit les yeux, doucement, paisiblement, alors que la douce clarté de la lune s'étalait avec délectation dans la chambre où elle logeait depuis quelques temps. Deux pupilles aussi rouges que ne l'était les rideaux de son lit à baldaquin, une peau aussi pâle que la lune qui se faisait princesse à sa fenêtre, nue sur la dernière parcelle de temps qui n'appartenait qu'à elle, la parcelle de beaux rêves où les poupées se faisaient dansantes enflammées, où elle retrouvait en chacune de ses douces amies une quiétude qui n'était que sienne. Elle serra son miroir inanimé et sentit l'imperceptible retour que la poupée lui rendait... Sa belle Sanaël, sa parfaite elle-même, elle se fit sourire enfantin et se laissa doucement glisser hors de ses couvertures pour laisser s'illuminer son corps d'une rivière de diamant... Pour la pénombre, pour le disque d'argent qui ne brillait que pour elle, elle devenait étinelante enfant comme sa poupée. Posant un pied sur le sol, puis l'autre, elle saisit une sublime robe rouge aux quelques dentelles noirs sur un décolté qui mettait en valeur les quelques formes qu'arboraient la petite, laissant ressortir son regard d'une beauté assassine et pourtant si innocente. A cette robe s'attachait un beau ruban noir noué à sa taille comme une promesse lugubre, là où la seule arme de l'enfant se masquait et se faisait dangereuse aux yeux de quiconque chercherait à ne pas être bon compagnon de jeu. Elle enfila la tenue, laissant une main légère repousser la blancheur immaculée de sa chevelure bouclée, puis offrit à sa poupée nue une même robe adaptée à la taille de son beau miroir. Ainsi vêtue comme sa jumelle, elle embrassa doucement les lèvres froides de l'inanimée avant d'enfiler des souliers noirs aux beaux rubans blancs qui embrassèrent aussi les pieds de la poupée avant d'enfin quitter son antre, son domaine, là où elle seule était reine... Sa jolie maison de poupée.

Légère, souple, comme dansant sur un chemin qui se traçait de lui même, la petite n'eut aucune hésitation à mesure que ses pieds frôlaient le sol pour la mener en compagnie de son bel ami. Sa petite poupée serrée tout contre sa poitrine, elle se vêtait d'un doux silence alors que ses pas se faisaient calmement pressant... Comme enveloppée d'une aura blanche, la petite semblait princesse dans son beau chateau, semblant bel oiseau dans un ciel de nuit, semblait s'approprier tout ce qui l'entourait pour le rendre beauté et charme... Tout pouvait être d'une laideur abominable, il n'y paraissait plus rien à mesure que sa présence rayonnait. La petite fille comme la lune au beau milieu d'un ciel de ténèbres illuminait l'orage, laissait oublier tout ce qui n'était pas elle, de par un léger sourire qui traînait sur les lèvres et sur celles de sa poupée, de part sa superbe chevelure qui voltigeait derrière elle comme entraînée dans une danse avec la vie, de par ses gestes qui animaient son corps d'une danse avec la mort. Petite créature qu'elle avait été dans une grande chambre blanche, fatiguée au point de n'être plus même capable de se lever, perdant ses couleurs à chaque jour et habillant son regard de la couleur du sang, elle était petite abandonnée revenue au monde des mortels pour reprendre son dû, et à chaque être qui poserait les yeux sur sa nouvelle beauté, celle de la mort imminente et douloureuse, elle serait comme un miracle revenu du temps pour offrir le silence de la rancoeur dans l'innocence, elle traversa la pénombre et revint au monde où elle le trouverait.

Arrivée dans le monde de noir et blanc qui se faisait labyrinthe, elle ne sembla pas même ciller à l'idée de se perdre. Accompagnée de son miroir inanimé, elle ne connaissait pas la peur, ne connaissait même rien de la prudence, ne restait que son bel ami qui l'attendait la quelque part... Encore quelques temps, quelques malheureuses minutes ou le sang vint parfois animé les cèdres d'un désespoir qui lui avait offert une toute nouvelle beauté, elle arriva, silouette doucement brillante, brillament sanglante, buvant les paroles d'une infecte créature qui émerveillait le regard de l'enfant d'une nouvelle étincelle. Elle souriait avec plus de véritable, avec plus de candeur, redevenue douce enfant de la mort elle n'était plus la lune perdue dans le ciel mais elle se faisait présence, réelle... Elle était là juste pour lui, pour le regarder haïr la vie, la mépriser comme elle même n'en était pas capable. Quelques paroles adressée à son égard, elle sourit et avança de quelques pas, délaissant les ombres qui la masquaient pour une nouvelle beauté aux égards de la lune qui ne brillait que pour elle et qui la rendait fantome aux yeux du monde. D'un regard caressant de dangereuse immortelle, elle vint s'approcher de son bel ami délaissé sur le sol et s'agenouilla à ses côtés dans la beauté et l'élégance, évitant avec précaution la terre qui risquerait de tâcher sa belle robe. Agenouillée à côté du corps, elle se pencha pour déposer sa tête sur le torse de l'étrange créature qui était depuis peu compagnon de jeu de la belle, sa chevelure cascadant auprès d'elle tandis que sa poupée laissait échapper quelques murmures alors que la petite fermait les yeux en souriant.

- Petite fille pense que les fourmis ne sont qu'un commencement...

Rouvrant les yeux avec une malice nouvelle, brillante, l'enfant laissa la main qui ne se faisait pas douceur aux côtés de la poupée offrir caresses à son bel ami en frôlant du bout des doigts les parcelles de son visage pour aller enroulé la chevelure de l'homme autour de ses petits doigt, tout en prestence et en candeur.

- Mourir dans la douleur pour mieux renaître...

La poupée laissait entendre sa voix de plus en plus inaudible, plus douce, plus paisible, alors que les doigts de la fillette se faisait tendresse dans la chevelure de son bel ami. Elle laissa doucement son visage quitté le torse de la créature pour s'appprocher encore, pour sentir son souffle sur le bout de ses lèvres muettes, pour plonger le regard de ses abysses dans les flammes de celui, plus tortueux, de cet être qu'elle admirait de par cette presque perfection qui s'approchait de la sienne. La petite n'était pas prétencieuse, ne cherchait pas à être à tout prix vantée de ses mérites, mais se savait la marionnettiste dans son propre jeu, et savait que cette belle créature n'était que son plus beau jouet, sa plus belle oeuvre, son plus beau présent.

- Toute créature devrait goûter à cet hommage.

Le beau miroir inanimé ferma les yeux alors que la fillette enfouissait son visage dans le cou de son bel ami, laissant ses bras comme une mélodie éternelle enlacer la gorge de son beau jouet. Il n'appertennait qu'à elle, elle ne le prêterait jamais à une autre... Son seul et unique, sa chose, sa créature, sa presque perfection qui la faisait petite fille douce et caline, avec toujours au fond du regard une fierté assassine, dangereuse. La petite malade voulait partager la mort qu'était aujourd'hui sa vie et ça se ressentait jusqu'à la froideur de sa peau douce, brillante et doucement sucrée.

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Nathaniel Anima
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MessageSujet: Re: Ne te perds pas ici ou tu me trouveras... (Terminé)   Ne te perds pas ici ou tu me trouveras... (Terminé) Icon_minitimeJeu 5 Aoû - 20:49

Nathaniel, bercé par le silence attendait une réponse de sa petite compagne qu'il ne pouvait et ne voulait surtout pas se détacher. Cette enfant qui lui avait apporté une dimension d'idée, de sentiment et d'émotion, une réelle myriade d'ouverture sur son être qui avait été autre fois fermé sur une idée unique, celle du Nirvana par la mort. Il y avait maintenant la vie autour de lui, il n'était pas seul face à l'immensité de son ambition et de la finitude absolue. Une enfant, une poupée l'avait transformé en une créature de plus en plus complète, de plus en plus prêt de la parfaite application de son être tendu vers l'accomplissement de cette même ambition qui l'animait. Cette petite marionnettiste qui le fessait bouger, le commandait de devenir quelque chose de mieux, de plus achevé. Quelque chose qui pourrait l'aider à tout réaliser. Avant de faire connaitre le Nirvana au monde il se devait de l'expérimenter de toute son âme, de tout son être. Cette petite poupée n'était que des plus importante à la réalisation de la fin et de la renaissance. Une seule de ses paroles, idées, réflexions, un seul de ses mouvements, comportements et agissement avait une signification qui trancendait toute vérité. S'il cherchait le Nirvana pour son être, l'enfant en était déjà épris. Elle l'obsèdait, l'omnubilait de toutes les fibres qui la composait. L'aboutisement parfait de l'existance créer par le virus, par cette bénidiction des dieux qui allait rendre possible son rêve. Une enfant qui représentait la beauté, la pureté, la vie, la chaleur mais aussi la force, le désire, la mort et le froid. Paradoxe parfait, image et création du Nirvana. Rien n'était plus magnifique, rien n'était plus vrai que cette enfant. Prêt d'elle tout devenait vrai, beau, singulié et unique. Il n'y avait pas de mot pour expliquer ce qu'elle représentait pour lui, rien qui n'existait encore, rien qu'il n'avait créer.

En son être un sentiment naquis alors que Samaël, sa douce Samaël sortait de l'ombre, marchant, non flottant au dessus de toutes les saletés de ce monde. Éclairé par la lumière de la lune elle était si fantomatique, si belle. Une enfant de la nuit aux rubis flamboyant. Le monde disparaissait tout doucement autour d'elle... Il n'y avait rien, il n'y avait qu'elle. Le monde venait d'arrêter de tourner et retenait son souffle. Pas un sons, pas une image n'osaient faire part de sa présence. Lui, Anima, aurait tuer, banni toutes choses qui auraient tenté de briser ce moment, cet avènement. La douceur de ses gestes, la beauté de ses actions. L'homme ouvrit pleinement les yeux alors qu'elle prenait place à genoux prêt de lui et que sa tête venait se déposer avec délicatesse sur son coeur. Un instant qui dura une délicieuse éternité. Une tendre éternité sucrée.

Des paroles d'une grandeur et d'une sagesse d'on personne ne savait en faire part. Une voix si belle qui imposait obéissance et admiration à chaque chose. Elle seule pouvait briser le silence. Non, elle ne le brisait pas, elle enjolivait le moment le rendant encore plus exquis. Et son touché, la délicatesse de ses doigts, de ses caresses sur son visage. Il en frissonna de joie, d'envie et de plaisir. L'enfant daignait lui tendre de l'affection, une affection qu'il ne méritait pas, mais qu'il acceptait et chérissait autant, voir même plus que la prunelle de ses propres yeux. Il savourait pleinement les délices que lui offrait la tendresse de l'enfant, ses caresses sur son visage, dans ses cheveux, l'homme ne demandait rien de plus que d'être la, tout simplement, se délectant de chaque secondes en la présence de Samaël, sa toute précieuse Samaël.

L'enfant quitta son torse, approchant son visage aux traits doux et magnifique baigné de la lumière blafarde des astres. Ses yeux, ses rubis enflammé dans lesquels il se perdait. Plongé dans un océan déchainé d'envie, de désirs. Noyé dans un océan de beauté macabre et innocente. Glacé de mort, transpercé de vie. Un regard qui lui fesait oublier qui il était, ce qu'il était, un regard qui le forcait à l'abandon de toutes résistances. Il était siens, il le savait. Et ses lèvres enivrante. Qu'aurait-il donné pour les gouter une seule seconde? Non, il ne le pouvait pas, il n'avait pas le droit. Il n'était rien, elle était tout. Il ne le méritait pas. Pas encore, pas encore...

La sensation du visage de l'enfant, enfouis dans son cou et de ses bras autour de sa nuque était tout simplement délectable. Le parfum de ses cheveux, la délicatesse de ses caresses. La vie grondait de nouveau en lui tel un torrent destructeur emportant tout sur son passage. Il se sentait mourir et bien vivant. Avant elle il n'existait pas et après elle il cèsserait d'exister. Elle était tout et lui... Lui n'était rien sans elle, sans sa présence. Alors il leva les bras et tout doucement, avec une tendresse qui n'était normalement pas sienne, l'homme la serra délicatement, amoureusement dans ses bras. Célant la caresse, s'abandonant éternellement.


'' Douce, douce Samaël... Les fourmis sont le début de quelque chose d'unique et de singulié. Le début d'un monde qui un jour vous appartiendras entièrement et pleinement. Le monde sera votre jardin. Douce, douce Samaël, je vous offirais un nouveau monde. Je détruirais toutes choses et des cendres renaitra le Nirvana. Des cendres renaitra la vie. ''

Il glissa sa main droite vers la tête de l'enfant, répétant les gestes de celle-ci, il lui offrit caresse. Plongeant ses mains dans sa chevelure d'argent, s'imprégnant de chaque texture, de chaque odeur. Nathaniel mourait d'envie et renaissait d'espoir.

'' Tendre, tendre Samaël... Ils connaitront tous la haine et le tourment. Ils connaitront tous mon ambition et en souffriront de chacune des fibres de leur être. Ils mourront tous et s'élèveront, les mains tourné vers le ciel. Tendre, tendre Samaël, ils comprendront tous le moment venu. ''

Lui-même leva les yeux vers le ciel noir, saignant de lumière. La vision que même dans la mort, dans la froideur, existait la vie et la chaleur. De l'avènement de la mort naquis la vie. Cette même beauté que petite fille transcendait.

'' Délicate, délicate Samaël... Je m'assurai que chacun d'entre eux goute à ce plaisir délectable. Personne n'y échappera. Ils gouterons à mon amertume, à ma haine, mais aussi à mon amour. Ils recevront mon cadeaux et en mourront de faiblesse pour en renaitre force. Délicate, délicate Samaël, votre cadeau seras différent. Tout ceci vous appartiendras. Car envers vous je ne porte pas le même amour, la même passion.Vous êtes unique, singulière. Envers vous je portes la vie, ma vie. ''

Nathaniel replongea son visage dans les cheveux de l'enfant pour y respirer son existence, sa seule certitude.

'' Belle, belle Samaël... Les fourmis ne sont que le début de la fin. Les fourmis ne sont que l'avènement de tout. Et je purgerai chaque chose autant de fois qu'elle devront l'être, les brulants pour les purifier. Ils ne feront pas que gouter à mon ambition, ils l'embrasseront. Rien de ce qui est ne restera mis à part cette promesse. Belle, belle Samaël, accepterez-vous mon présent, ma vie? ''

Une promesse qui se voyait éternelle. Le moment de sa mort, un nouveau monde allait renaitre par le Nirvana, un monde pour tous, un monde pour elle. Un monde nouveau, magnifique et pure. Petite fille allait être la première enfant de ce monde et pourra y jouer à sa guise. Un monde qui allait appartenir à tous, mais surtout à elle, l'image de son ambition. Elle ne règnerait pas sur les hommes qui habiteront le Nirvana, il le savait. Petite fille n'était pas une reine, petite fille était une déesse. Petite fille est l'idéal de ce changement, de cette renaissance. .
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Samaël Samarensis
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MessageSujet: Re: Ne te perds pas ici ou tu me trouveras... (Terminé)   Ne te perds pas ici ou tu me trouveras... (Terminé) Icon_minitimeSam 7 Aoû - 8:25

L'enfant restait paisiblement blottie contre le corps de son bel ami qui la serrait d'une étreinte amoureuse, de paroles tendres, de quelques déclamations qui ne faisaient que confirmer ce que la petite savait déjà. Lui, les autres, le monde entier n'appartennait qu'à elle... La petite marionnettiste tenait toutes les ficelles, les laissaient danser au bout de ses petits doigts d'enfant, et tout était beau de n'appartenir qu'à elle. Laissant un doux sourire bordé son visage à chaque fois qu'il parlait, à chaque doux geste qu'il répétait inlassablement pour le plus grand plaisir de la petite fille qui jamais n'aurait laissé d'autres créatures l'étreindes que celle-ci, elle but chaque mot sortant de la bouche de l'homme comme un délicieux nectar qui entrouvrait ses lèvres, se glissaient avec fougue sur sa langue, glissant dans sa gorge comme une douce brulure jusqu'à venir amener son coeur à battre un peu plus fort, à donner un peu plus de vivant au petit fantome qu'était devenu l'enfant. Elle ne cherchait pas de prétention mais savait que tout ce qu'il répétait était vrai, savait à quel point son miroir inanimé pouvait être fier d'elle... La partie était gagnée alors qu'elle venait à peine de commencer, ne restait aucune autre option. Elle serait princesse d'un royaume sans autre couleur que celle du sang, de la douleur, de la délicieuse tyrannie. Comme il le disait lui même, chaque créature devrait purger, devrait être enflammé pour renaître de cendres plus pures, plus douces... Des cendres qui seraient siennes.

Aux dernières paroles de son bel ami, la jeune créature se redressa doucement, pour fixer son regard dans celui de son éternel objet, de sa plus grande ambition... Il était différent parce qu'elle ne s'en lasserait pas, parce que jamais autre qu'elle ne pourrait profiter de sa présence et de ce qu'il représentait. Portant sa main à la joue de Nathaniel, l'enfant se fit toute caresse en laissant le bout de ses doigts dériver avec lenteur et délectation sur les lèvres de celui qui compterait toujours, de celui qui ne serait pas simple jouet mais nouveau compagnon... Il ne serait jamais son miroir inanimé, mais resterait malgré tout, parce qu'elle ressentait qu'elle ne devait pas s'en séparer. Enfant, elle ne comprennait pas ce qu'il pouvait bien inspirer pour qu'elle le veuille ainsi siens plus que toute autre créature, elle suivait juste un instinct qui lui dictait de ne jamais le laisser partir, de l'emprisonner à jamais dans ses promesses. Son regard se voilant de menace, de dangereux, la petite afficha un sourire qui n'avait plus la tendresse de l'enfant mais bien le Damoclès du prédateur... Non, il ne partirait pas, jamais il ne partirait, elle ne le laisserait pas faire, pas même mourir ne serait à sa portée. Elle le voulait, lui plus que n'importe quel autre, elle le voulait en vie et auprès d'elle, sans que jamais il ne puisse en voir une autre, sans que jamais ces paroles n'atteignent une autre, sans que jamais une autre ne puisse toucher ainsi les lèvres de cet homme du bout des doigts, du bout du regard, des lèvres... La petite poupée habilla sa voix de la même menace, du même danger, comme si elle fut capable de le tuer seulement de sa voix glacialement claire

- Que ta vie jamais ne s'offre à une autre, que ta mort jamais ne rencontre une autre, que ton corps soit brulure de toute autre créature qu'il touchera, que ton regard soit sang de toute autre créature qu'il regardera, ... Petite Fille te veut pour elle-seule, Petite Fille te veut à jamais...

D'un visage plus dangereux que jamais, petite ange était effrayante, comme si son regard rougeoyant n'était que la mare de sang qui s'écoulerait du corps de son bel amant s'il venait à la trahir, s'il venait à tromper tout ce qu'il représentait pour elle. S'il appartenait à une autre, le rouge de son regard et de la robe qui habillait son corps serait celui de son sang, s'il pensait à une autre la noirceur de sa voix et du ruban qui ceinturait sa taille serait linceuil de cet homme. Petite fille n'était que petite fille mais plus dangereuse que jamais... Doucement elle se pencha sur le visage de celui qui serait sien dans la vie et la mort pour déposer, un bref instant, un baiser sur ses lèvres, scellant ses paroles alors que la poupée offrait quelques derniers murmures à l'oreille de la créature...

- Que ce baiser soit poison s'il devait un jour appartennir à une autre...

Reculant son visage tout en plongeant un regard redevenu tendresse et douceur de l'enfance, la petite arbora un nouveau sourire, de ce sourire lumineux qui n'appartenait qu'à la beauté de l'enfance, qui n'appartenait qu'à sa propre beauté de fantome... Elle se redressa de souplesse et s'éloigna de quelques pas pour laisser tournoyer un instant sa robe autour d'elle dans une danse endiablée avec sa poupée dans la froideur des vents, dans la douce obscurité qui rendait son corps étoile dans la nuit, qui la rendait désirable, attirante malgré l'enfance... Lorsque la danse s'arrêta, son visage se perdait quelque part entre la tendresse et la menace, parce qu'il aurait suffit d'une seconde pour qu'elle lui préfère la mort à la vie, pour qu'il ne puisse jamais appartenir à une autre qu'elle. Petite ne partageait pas ses beaux jouets, et il était le plus beau... Il mourrait plutôt que d'un jour s'approcher d'une autre créature que l'enfant, et quiconque en douterait en payerait le prix.

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Nathaniel Anima
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MessageSujet: Re: Ne te perds pas ici ou tu me trouveras... (Terminé)   Ne te perds pas ici ou tu me trouveras... (Terminé) Icon_minitimeLun 9 Aoû - 21:13

Quelque seconde, quelque minute peut-être? Non une éternité s'écoulait, le temps n'existait plus, il n'avait jamais existé. Il n'y avait que cette douce caresse, que cette réconfortante présence, que ce souffle chaud dans sa nuque. Il n'y avait qu'eux, elle, pas même l'espace n'était réelle. Tout était mensonge, rien n'était que plus vrai que cette instant surpassant les millénaires, rien n'était plus significatif que ce seul et unique moment.

Nathaniel en vint à sentir un léger mouvement perturbant son étreinte, comprenant de quoi il s'agissait en une fraction de seconde, ce fut avec un léger regret, mais tout de même avec un certain plaisir qu'il appréhendait la suite. Il relâcha son étreinte amoureuse pour permettre à petite fille de se relever sans la moindres contraintes avec toutes les aisances qu'il pouvait bien lui laisser. L'homme suivait avec une attention soutenue et toute particulière la main de l'enfant qui vint se porter à sa joue, ressentant le toucher glacial de cette dernière avec un plaisir se renouant sans cesse. Non, le plaisir ne se renouait pas, il augmentait alors que les doigts parcouraient en douceur ses lèvres gorgé de l'envie de recevoir un baisé.

Ses yeux dérivèrent une fois de plus à l'intérieur de l'enfer brillant des yeux de petite fille, un regard qui n'avait en ce moment rien d'enfantin. Les flammes de la menace dansaient avec rage. Des rubis qui exprimaient bien plus qu'une simple menace, un danger, un avertissement, ce n'était pas une menace, c'était quelque chose qui allait réellement être mit à l'exécution dans le cas ou les conditions seraient emplie. Conditions qu'il ne connaissait pas encore, mais d'on l'homme pouvait très bien se douter, oui, certainement, Nathaniel imaginait parfaitement de quoi il en serait question. C'était une évidence, le désir qui brulait dans les yeux de Samaël, ce même désir qui fessait vibrer tout son être. Il le savait et avait attendu patiemment le moment du sceller.

Petite poupée s'exprima très clairement, soutenue par les flammes nourrirent du regard de l'enfant. Des paroles d'une limpidité et d'une justesse... Elle n'avait pas besoin de lui dire, il le savait si bien déjà. Il était prêt, l'avait toujours été. Mais d'entendre ses paroles, de voir ce regard, la sensation n'en fut que plus forte. Des yeux si attirant, des mots si excitant. C'était exactement ce qu'il désirait. C'était ainsi qu'il l'aimait, la chérissait. Samaël était parfaite, si parfaite... Comment aurait-il même été en mesure d'en aimer une autre, elle était tout, absolument tout. Comment pourrait-il même penser à une autre, elle l'obsédait à un tel point qu'elle occupait toutes ses pensés! Il aurait été d'une improbabilité astronomique qu'elle ne soit pas la seule et unique et ce pour l'éternité.

Et il sentit que l'instant arrivait finalement. Le visage de Samaêl s'approcha du siens inexorablement et ce avec une lenteur qui laissait croire que le mouvent restait suspendu dans le temps. Peut-être n'étais-ce que ses perceptions et ses sens qui avaient ralentie? Peut-être son appréhension était-elle si grande que le mouvement semblait s'étendre que pour le faire languir de plus en plus? Puis le contact se fit en fin. La douceur de ses lèvres suave, la puissance de son désir incommensurable, la froideur glaciale de la mort, la chaleur incandescente de sa vie, le gout de sucre de son poison... Le sort était complet, ensorcelé, harnaché à jamais par ce baisé, cette tendre promesse immortel.

Puis il se rompit, le contact. L'éternité n'avait pas été suffisante, elle était bien trop courte... L'homme y aurait gouter, encore et encore pour plusieurs autre éternité, pour une infinité d'éternité! Mais même l'infinité aurait été finalement trop courte. Elle était comme l'ambroisie des dieux, le nectar de son existence. Il aurait aimer prolonger l'action, maintenant que la promesse était faite, maintenant que les yeux de petite fille était revenu tendresse. L'embrasser dans un contexte différent, comme une réponse. Mais il était trop tard, il faudrait remettre ses envies à plus tard, à cette attente, à sa patience immémorial, n'y avait-il rien de plus plus délectable que l'attente de ce qui paraît inéluctable? Non, rien. Déjà Samaël reculait son visage, déjà se levait-elle pour dansé, pour dansé comme aucune autre créature ne savait le faire. Les astres ne semblaient briller que pour elle, les étoiles et la lune éclairait sa scène, ils n'existaient que pour elle. Cette danse prit alors fin sur un visage mitiger, un visage qui voulait encore tout dire. Mais il le savait déjà.

Mécaniquement Nathnaniel se leva. Du revers de la main il balaya la poussière venu du sol de ses vêtements. Il aurait été incorecte d'être sale en présence d'une dame. Tout aussi mécaniquement il fit quelque pas pour bientôt se retrouver au coté de l'enfant. Il plongea son regard illuminer d'une lueur rouge incompréhensible.


'' Ma vie est à jamais tienne. Mon corps brulera toute créature s'approchant de moi. Mon regard se voilera à la vue d'une autre. Je suis ton unique, tu es ma précieuse. La promesse est faite et rien ne pourra jamais la briser n'y même l'affecter. ''

Quittant les yeux de Samaël son regard vint rencontrer la lune. Il avait fait exprès d'omettre un élément. Il ne promettrais rien au sujet de sa mort. Elle appartenait déjà au Nirvana. Il ne pouvait en dire un mot, pas un seul. Sa mort été obligatoire, essentiel. Il pouvait offrir à l'enfant absolument tout, mais pas cela. La seule foi qui peut vaincre, c'est celle qui ne s'arrête pas devant les sacrifices. Et ce sacrifice serait celui de sa vie.

'' Les aubes sont navrantes. Toute lune est atroce et tout soleil amer. Mais à vos coté, je ferais fit de tout ce qui est. Les aubes seront emplie d'espoir. Toute lune sera grandeur et tout soleil délicieux. Je n'es pas de mot, rien qui puisse condenser cette sensation, la transformer pour pouvoir l'émettre sous forme de mot. Rien de ce qui est ou pourrait être ne serait en mesure d'expliquer cette chose qui grandit en moi. Vous êtes l'unique, la précieuse. L'être aimer. ''

Il joignit ses mains ensemble, baissant la tête pour baigner son regard de l'image de petite fille. Une nouvelle tâche, il faudrait qu'il la prépare à sa mort, qu'elle accepte que lui, Anima, doivent un jour partir pour lui donner son monde, son rêve, son idéal. Aujourd'hui était bien trop tôt, elle n'aurait sut comprendre. Lui-même ne savait pas encore comment s'y prendre. Alors il faudrait une fois de plus en remettre à cette patience éternel qui le caractérisait.

'' Que les étoiles en soit témoins, cette promesse jamais ne mourra, j'étais, je suis et je serai votre. Que la lune en soit témoins, cette promesse jamais ne mourra, il n'y avait, n'est et n'auras jamais personne d'autre. Que les astres en soit témoins, la Création, ma Création étais, est et continuera d'être votre. ''

L'homme défit ses mains et en tendit une à l'enfant, il n'y avait aucune insistance dans son geste, seulement une proposition des plus simples. Anima appréciais les lieux rattaché à des moments important pour lui, les endroits qui possédaient une signification autre que logique, mais bien sentimental. Et en cet instant un seul lieux de ce genre s'imposait.

'' Voulez-vous venir avec moi? En cet endroit ou tout à commencer. En cet endroit ou mes yeux se posèrent sur vous pour la toute première fois. ''

Il leva son autre main créant n'ont lui de lui un de ses fameux trou noir stable, le trou de ver, lui permettant de se téléporter dans n'importe quel endroit qu'il connaissait avec bien évidement une petite marge d'erreur... Toute petite...

'' Et cet endroit ne semble pas convenir à une demoiselle de votre importance. ''

Promesse, promesse, promesse. Sa vie était maintenant lié à celle de petite fille et ce pour les éternité à venir.

(Hrp: Écrit ta suite au parc^^)

Hrp: Suite: https://kaedes.forumsrpg.com/le-parc-f55/regarde-moi-dans-les-yeux-libre-t31.htm#85


Dernière édition par Nathaniel Anima le Dim 15 Aoû - 23:46, édité 1 fois
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Prescilia Kacey

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MessageSujet: Re: Ne te perds pas ici ou tu me trouveras... (Terminé)   Ne te perds pas ici ou tu me trouveras... (Terminé) Icon_minitimeSam 14 Aoû - 1:32

Distribution d'XP!^^

Samaël Samarensis:

- La longueur du topic: 8
- La longueur de ton premier post: 10 + 10
- L'originalité de ton premier post: 10 + 10
- La clarté de ton premier post: 9 + 10
- L'orthographe (un peu): 9 + 10

Total de l'XP: 86 XP

Je donne l'XP par post, alors c'est normal que tu en ais moins que Nataniel, vu que tu as un post de moins, mais j'adore te lire, j'aime beaucoup ton vocabulaire riche!^^ Continue comme ça!

Nataniel Anima:

- La longueur du topic: 8
- La longueur de ton premier post: 10 + 10 + 10
- L'originalité de ton premier post: 10 + 10 + 10
- La clarté de ton premier post: 10 + 9 + 10
- L'orthographe (un peu): 9 + 9 + 10

Total de l'XP: 125 XP

J'aime beaucoup les liens que tu fais avec les fourmis!^^ Tu as également un très bon vocabulaire. J'aime bien ton personnage qui a des idées biens différentes: passe d'une extermination de fourmis à un amour fou.^^

En général:

J'ai beaucoup aimé la passion qu'il y a entre vous deux, même si elle est sauvage quelques fois! xD Bref, j'ai déjà hâte de lire votre prochain topic!^^ N'oubliez pas de changer l'XP dans votre fiche de personnage dans votre profil!
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